The DRESDEN DOLLS
The Dresden Dolls (2004) J'ai découvert cet album sur le tard, grâce à Nine Inch Nails où le duo des Dresden Dolls assurait la première partie. Lui torse-nu et affublé d'un chapeau melon derrière sa batterie, et elle, en corset et bas résille, derrière son clavier et son micro, aguichant la foule en écartant ici et là son entre-jambe. Ah sacré Amanda! Comme j'aime à le dire, la dernière fois qu'une nana m'a fait autant d'effet, c'était Madonna dans sa robe de mariée aux MTV Awards... J'avais 12 ans à l'époque et c'était donc normal que la madonne me foute la trique. Là, 25 ans plus tard; je dois vous l'avouer, j'ai retrouvé ma vigueur de jeunesse dans la personne d'Amanda Palmer, la performeuse des Dresden Dolls. Elle sait y faire pour capter l'attention: outre son aguichante tenue, Amanda, c'est une voix, un regard et une gestuelle qui ne laissent pas indifférent (elle a été longtemps artiste de rue). Par ailleurs, c'est aussi des textes censés et sensibles sur la condition féminine et la difficulté d'établir une relation franche et sincère (lire texte de Girl Anachronism ou Truce). Informations sur l'album:
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